Bergeronnette grise (Motacilla alba)(c) © Tomas Broucek, some rights reserved (CC-BY)

Géroudet

Connaître l’oiseau, c’est aussi le déterminer à son cri habituel, un tchissir. ou tchissip... aigu et perçant - moins aigu et plus adouci toutefois que celui de la Bergeronnette des ruisseaux - poussé à tout propos et surtout au vol. Ses variantes se transcrivent tsit... tsississ... tsivit..., etc., et il faut leur ajouter un pllyî mouillé, un te hic d’alarme.